de Oyuki Toshizawa » Jeu Sep 25, 2008 11:17 pm
Étais-ce vraiment Oyuki qui allait rendre le blond fou de désir ? Après tout, il ne faisait qu’accepter, ressentir pleins les caresses langoureuses et sensuelles, que lui offrait le dragon.
Jamais humain ne s’était sentit aussi aimé, désiré qu’Oyuki. Novice mais appréciant, il ne pouvait que manifester son contentement, son plaisir par des soupirs, des gémissements à peine voilés. Cependant malgré son innocence, il n’avait pas envie de demeurer inactif. Keisuke pourrait bien avoir une surprise…
L’humain appréciait, ressentait, chaque caresse, chaque baiser. L’humain ne pouvait se douter de l’effet qu’il produisait sur son dragon. Bien évidemment il était conscient que le dragon l’appréciait, il ne pouvait se douter que le dragon pouvait l’aimer autant que lui, que leurs sentiments étaient réciproques. Ce que lui faisait ressentir Keisuke était une torture mais la plus délicieuse et agréable des tortures. Peu doué, Oyuki faisait de son mieux afin de répondre à ses baisers, à ses caresses. L’humain voulait que son aimé, sache, comprenne qu’il aimait tout ce qu’il lui offrait.
L’humain désirait tout de lui, il était heureux des présents offerts, néanmoins il désirait plus, il le lui avait d’ailleurs fait comprendre. Les caresses d’abord innocences se firent de plus en plus intimes et coquines et surtout de plus en plus précises. Oyuki gémissait, signifiant son contentement, son approbation. Le dragon l’ayant débarrassé de ses vêtements les choses pouvaient donc commencer.
Le corps d’Oyuki commença à être traversé par des sensations plus qu’étranges. Les lèvres du blond n’avait fait qu’effleurer sa partie supérieur, mais là, il s’attaquait à un endroit plus que sensible. Des frissons le traversait. Il se sentait plus qu’étrange, mais également euphorique, appréciant pleinement cette caresse offerte.
Keisuke avait intérêt à prendre ses responsabilités car bien qu’étant innocent dans ce domaine, l’humain savait qu’il ne pourrait se contenter que d’une simple caresse, aussi intime soit-elle. Oyuki le ressentait au fond de lui, à l’impression d’avoir de la lave en fusion couler dans ses veines. Qu’il désirait beaucoup plus…
La voix du dragon avait un drôle d’effet, la manière dont il avait prononcé était si intense qu’il en avait frissonné…
L’humain ne manqua pas de remarquer qu’il n’avait pas rajouté d’affectueux suffixe. Il l’avait appelé par son prénom et non par le petit non dont il l’affublait pour se moquer de lui, il l’avait appelé par son prénom il était sérieux, il n’avait plus de plaisanterie. Ses lèvres n’avaient vraiment pas l’air de plaisanter en honorant de cette façon son membre. D’ailleurs s’était d’ailleurs la première fois qu’il voyait quelqu’un déguster un gâteau au chocolat ainsi, c’était une manière forte intéressante. Il fallait avouer…
Le corps traversé de frissons tous aussi agréables et étranges les uns que les autres. La sensation de la langue du dragon sur son membre. Si Keisuke ne l’avait pas retenu qui sait ce ce que son corps enflammé aurait pu faire ? Oyuki avait le corps en feu, de ses mains il tentait lui aussi de découvrir ce corps aimé. Lorsque ses doigts effleurèrent la cicatrice sur sa hanches il ne pu s’empêcher de trembler. Son corps était tellement couvert de ces cicatrices, pourtant le blond le caressait avec délicatesse et tendresse, comme si ce corps ne le répugnait pas. Qu’il aimait ce qu’il voyait. Il ne cessait de frissonner tant ses lèvres étaient passionnées sur son corps, que ses mains étaient impérieuses et si délicates. Des gémissements s’échappaient de ses lèvres. L’humain désirais sentir, toucher, goutter la peau, le corps de celui qu’il aimait.
L’humain sentait que son corps allait exploser qu’il ne pourrait tenir bien longtemps. Le rythme du dragon devenait endiablé, il allait finir par exploser. Mais cette sensation, cette délicieuse torture prit brusquement fin.
Quelle cruauté ! Il n’allait pas le laisser ainsi ! Mais le regard de Keisuke était si passionné, le sourire qui éclairait son visage ne disait rien qui vaille au brun, cependant en entendant les paroles de Keisuke, ses joues devinrent plus rouge qu’une tomate….
Allait-il vraiment le laisser ainsi ? Mais Keisuke comme d’habitude plaisantait, il ne pouvait pas s’en empêcher de toutes les manières, ses doutes furent vite oubliés lorsqu’il reprit son membre ainsi que ses mouvements rapides. Ses mains étaient douces sur son corps. Les gémissent s’échappaient de plus en plus de ses lèvres, son soufflé s’échappait en saccade il avait l’impression d’être un volcan qui allait entrer en éruption. Oyuki sentit une étrange sensation s’épanouir au creux de son ventre, il ne comprit pas immédiatement, cependant il su qu’il devait éloigner Keisuke de lui, ce qu’il sentait venir ne lui disait rien qui vaille. Oyuki posa ses mains sur ses épaules et le repoussa.
« Keisuke recule-toi, je crois que je…. »
Commença t-il, ne sachant pas pourquoi il demandait au dragon de reculer, il le sentait instinctivement.
Mais le blond refusa de bouger, Oyuki cette sensation qui avait éclos au creux de son ventre, s’intensifia jusqu’à ne plus se retenir, Oyuki complètement effaré, surpris, se cambra en sentant venir le plaisir, ce fut pour lui une sensation plus qu’étrange. Il sentit sa semence jaillir hors de lui, le pauvre Oyuki ne parvenait à croire que son dragon ait bu sa semence, il était peut être innocent mais pas idiot quand même.
L’humain était surpris, euphorique, les joues rouges. Jamais il n’aurait cru pour avoir allé jusque là, avec le dragon et ressentir autant de sensation, avec uniquement
Son corps était toujours empli de sensations et la pluie de baisers de que lui donnait le blond. Oyuki avait les yeux encore embrumés. Lorsque le blond lui demanda s’il allait bien, il eut un sourire presque angélique, il tendit la main afin de caresser le visage tant aimé.
« Je me sens étrange, mais c’est une sensation agréable »
Répondit-il.
Lorsque le blond déposa un léger baiser sur son nez, Oyuki rougit, lorsqu’il posa son visage dans son cou, il glissa ses bras autour de sa taille, afin de l’attirer à lui trouvant qu’il était beaucoup trop loin de lui. Il comprit pourquoi, sentant le désir de son aimé à travers le pantalon qu'iol portait toujours alors que lui ne portait plus rien. Il rougit mais il en était également heureux, glissant ses mains sous ses aisselles, il le releva de manière à ce qu’il se trouve à sa hauteur, puis il saisit délicatement son visage dans ses mains amenant son visage du sien, puis il posa doucement ses lèvres, il les embrassa délicatement. Puis sans crier gare il renversa le blond de manière étonnante et surprenant pour un innocent, de manière à se retrouver au-dessus de lui, un sourire coquin éclaira tout à coup ses lèvres.
« Je vais te rendre tout le bonheur que tu m’as donné »
Dit-il énigmatique.
Il commença par glisser langoureusement le long du corps du dragon, comme le blond l'avait fait avec quelques minutes auparavant, là, où il passait, il déposait un délicat baiser sur la peau découverte. Elle était si douce, enfin il arriva à la partie surpérieur, encore couverte du pantalon. il se redressa à demi plongea son regard dans les yeux de celui qu'il aimait, de ses doigts tremblant, les joues un peu rouge, il commença à défaire les bouton, lorsqu'il eut terminé son travail il commença à faire glisser le pantalon le long des cuisses du blond. Il posa sa main sur sa hanche de manière à ce qu'il se redresse légèrement, afin de faire glisser le pantalon, doucement il termina de le faire descendre, puis l'ôta complétement. Le fier animal du dragon se dressait dignement devant ses yeux. Oyuki rougit de plus bel, il le fixa comme hynoptisé, le souffle un peu court, puis il se détourna pour ensuite s'écarter quelques secondes de son aimé, afin d’aller plonger sa main dans le cœur du fondant au chocolat, puis il revint vers le blond, toujours ce sourire coquin sur les lèvres et les joues aussi rouge. Son aimé qu’il avait laissé allongé, certainement abasourdi par sa réaction, ne le lui laissant pas le temps de se reprendre, il se hissa jusqu’à son visage, puis embrassa ses lèvres, puis glissa le long du corps du dragon comme pour le provoquer, lorsqu’il arriva à l’objet de ses désir, il demeura quelque secondes à le fixer toujours hypnotisé. Puis il se pencha vers le membre du dragon dressé, puis comme Keisuke il badigeonna avec délicatesse, voir même avec crainte, lorsqu’il fut satisfait de son travail, le brun se pencha, il hésita quelques secondes lorsqu’il fut face à ce membre fièrement dressé, doucement, il le saisit se pencha et commença par lécher le chocolat, d’abord timidement, puis avec plus d’assurance, puis comme il l’avait vu faire Keisuke, il prit le membre en bouche, le pauvre faillit presque s’étouffer un peu maladroit. Puis il commença à imprimer de longs mouvements de va et vint sur cette délicieuse sucrerie chocolatée. Oyuki trouva son rythme. Il avait été très attentif à la leçon particulière de son bien aimé de professeur.